
C’est le Conseil pastoral de l’espace missionnaire qui a choisi ces
thèmes. Nous avons estimé que : 1A, 2A, 3A, 4A, 7A,
7C, 8A se vivaient déjà même si on peut toujours améliorer. 8B : les
communes sont accueillantes à nos activités.
La soirée a rassemblé une soixantaine de
participants avec une large majorité de dames mais un âge moyen beaucoup plus
bas que d’habitude (grâce à des invitations personnelles ciblées).
Dans ce premier article, nous donnons un écho la réflexion autour de la question 6, les jeunes.
Etat des lieux
Dans ce premier article, nous donnons un écho la réflexion autour de la question 6, les jeunes.
Des groupes de catéchèse et d’aumônerie actifs
Etat des lieux
Il y a actuellement 2 équipes d’aumônerie (une
douzaine de jeunes chacune), une de lycéens confirmés qui échangent sur des
thèmes (violence, euthanasie,…) et une de collégiens (création d’un spectacle
pour « Partageons nos talents »). Ils participent aussi à l’animation
des célébrations de Noël et de la Veillée pascale.
Le vivier de création d’équipes est la catéchèse
des enfants. 90 enfants qui se dispersent en grand nombre après la Profession
de Foi. Des efforts sont à faire pour approvisionner ce vivier et pour le
conserver au-delà de la Profession de Foi.
Points à traiter en groupes
- Comment améliorer ce qui se fait déjà (cf. état des
lieux) ?
- Y a-t-il du nouveau à envisager ?
Remontées des groupes
Dans les groupes l’accent a surtout été mis sur la catéchèse
pour laquelle des différences sensibles de fonctionnement sont observées entre
le secteur de Menou et les zones rurales. Pour Menou, les responsables et les
parents qui participent à la catéchèse forment une bonne entité, source de
motivation. A la campagne, les réalités sont plus petites mais elles sont à
maintenir.
Les démarches de repérage ont été rappelées :
- Sensibilisation au moment du baptême,
- Remettre en route l’éveil à la foi à Menou et au
Sud. (une réunion est prévue)
- Contact personnalisé avec les parents ayant des
enfants en âge de caté (le papier dans la boîte aux lettres ne suffit pas),
- Rencontres avec ces parents lors de célébrations
autour de temps forts,
- Cibler des personnes en lien social avec les
enfants, profiter d’événements diocésains pour sensibiliser les jeunes et faire
remonter aux parents,
- La relation avec l’école catho, St Charles, est
aussi à repenser ; plus impliquée par le passé.
- Accompagnement des parents impliqués,
- Proposition de temps conviviaux,
- Partage de leurs soucis de vie…
L’idée de mieux impliquer les jeunes dans les
célébrations et de favoriser la communication intergénérationnelle est revenue
plusieurs fois :
- Faire témoigner les jeunes sur ce qu’ils vivent à
diverses occasions, par exemple, après un voyage, un pèlerinage, au moment d’un
temps fort… Cela existe sur Menou.
- Les moyens informatiques (voir avec SEDICOM)
pourraient favoriser les échanges entre générations.
Sur les différents points soulevés, des choses
existent déjà ici ou là, mais, a priori, les membres de nos communautés
paroissiales ne sont pas très au courant de cette réalité. Cela reste une
affaire des personnes directement impliquées. Un effort de communication (et
d’écoute !) semble nécessaire. Les trois paroisses de l’Argonne partagent
déjà leur expérience, des temps
forts sont vécus en commun; peut-être faudrait-il aller plus loin pour imaginer
les bases communes de l’organisation ?