Une petite dizaine de personnes s'est réunie mars 21 mars au presbytère de Menou pour réfléchir aux orientations à venir de la communication sur le Doyenné. Voici quelques extraits de ce qui s'est dit.
Pour
démarrer la soirée, nous avons lu un texte du recueil de l’ACF (Action
Catholique des Femmes) « les prières de Marthe et Marie »,
texte bien enraciné dans la vie quotidienne.
Vivre En Argonne, de belle facture dans sa version
actuelle, reste un support bien adapté
au public des plus de 50 ans et pas uniquement pour les cathos bon teint. Par
exemple, lors d’un dernier CA de la Maison familiale de Auve, il a été jugé
comme vecteur intéressant.
Pour
réduire les coûts, Bayard service qui en assure actuellement l’édition,
proposent des pages thématiques communes
à d’autres éditions. De même, le SEDICOM, service de communication diocésain,
réfléchit à un bulletin commun à plusieurs doyennés avec des pages diocésaines
et un volet spécifique au doyenné. Affaire à suivre.
Aujourd’hui,
pour avoir de l’information, les jeunes
vont plus facilement sur Internet
qu’au presbytère, d’où l’intérêt de ces nouveaux supports.
Cependant,
un site ou un blog demande une démarche volontaire de la part de l’intéressé
alors que, via les réseaux sociaux,
la communication s’établit beaucoup plus facilement.
François,
de part son expérience au sein de l’Allée des Couleurs, a mis l’accent sur
l’intérêt d’avoir au sein de la paroisse une « chargée de com » qui connaisse bien la vie de ladite paroisse
et puisse fédérer les différents supports de communication. Pourquoi pas une
animatrice à temps partiel chargée de la communication ?
Toujours
dans le numérique, Nadège propose de constituer des listes d’adresses e-mail des membres de différents groupes qui
existent au niveau de la paroisse ou du doyenné afin de pourvoir faire des
communications ciblées en diverses occasions. Aussitôt dit aussitôt fait ; l’opération est maintenant lancée.
Objectif atteint , car une vingtaine d'enfants sont venus avec leurs parents et
grands-parents pour jouer ensemble , si bien qu'il a fallu ajouter des
tables pour que tout le monde prenne place. Quatre vingt personnes étaient donc présentes afin de perpétrer cette tradition déjà bien ancrée dans l'esprit de tous 
